Prof. Dr. Werner Gitt
An verschiedenen Beispielen wird die Genialität der Schöpfung dargestellt. Als Wissenschaftler erklärt Prof. Dr. Werner Gitt, dass die unglaubliche Information, die in der ganzen Schöpfung steckt, einer intelligenten Quelle bedarf. Diese Quelle ist Gott selbst. Die Wissenschaft kann nur das "Was" analysieren, nicht aber das "Woher".
Das "Am Anfang schuf Gott Himmel und Erde" der Bibel gibt uns eine Antwort auf die Frage nach der Herkunft des Lebens. Der Gedanke, Gott hätte durch Evolution geschaffen (die so genannte "Theistische Evolution"), untergräbt die Autorität der Bibel und ist mit dem christlichen Glauben unvereinbar. Die Bibel zeigt deutlich, dass Jesus der Schöpfer ist. Jesus hat die Menschen geschaffen und liebt sie hingebungsvoll. Darum lädt Jesus dazu ein, diese Liebe anzunehmen.
Dieses Traktat eignet sich besonders gut zur Weitergabe an suchende Menschen!
8 Seiten, Best.-Nr. 123-4, Kosten- und Verteilhinweise | Eindruck einer Kontaktadresse
L’observation des êtres vivants permet la découverte de fonctions biologiques hautement spécialisées: le cachalot, un mammifère, est équipé pour plonger jusqu’à 3000 mètres de profondeur sans souffrir du mal de compression; un pic épeiche donne de forts coups de bec dans les arbres, sans contracter la moindre commotion cérébrale.
Dans la plupart des cas, la vie suppose que les organes fonctionnent dans leur intégralité (ex.: le cœur, le foie, les reins). Des organes inachevés, en cours de développement ou à moitié terminés, sont sans valeur. Que ceux qui penchent dans la direction du Darwinisme en soient conscients: l’évolution ne connaît pas de perspective visant à un fonctionnement ultérieur des organes.
De nombreux oiseaux migrateurs disposent d’un système de pilotage automatique qui les conduit au but de façon certaine, indépendamment des conditions météorologiques et de l’heure du jour. Le Pluvier doré, par exemple, vole de l’Alaska à Hawaï pour hiverner. Son besoin énergétique pour ce vol de 4 500 km est très exactement calculé: 70 grammes de lipides, une réserve de 6,8 grammes étant même prévue en cas de vents contraires.
Le nautile (un céphalopode) vit à l’extrémité extérieure d’une coquille cartilagineuse en colimaçon dont l’intérieur est divisé en compartiments. Ceux-ci se remplissent de gaz en fonction de la profondeur de plongée, ce qui permet à l’animal de se maintenir en permanence à une profondeur stable. Ces animaux vivent normalement à une profondeur de 400 mètres, mais remontent la nuit jusqu’à 100 mètres de la surface. Comme nos sous-marins modernes paraissent lourds et gauches en comparaison !
Quelques petites bactéries microscopiques possèdent des moteurs électriques fonctionnant au moyen de protons qui leur permettent d’avancer ou de reculer. Dans le volume incroyablement petit de six milliardièmes de millimètre cube, le colibacille dispose de six de ces moteurs, d’une centrale électrique pour la production de son propre courant électrique, d’un système informatique et d’un nombre assez important d’usines chimiques.
Une cellule vivante est façonnée de manière bien plus complexe et bien plus ingénieuse que toutes les machines construites par l’homme. A l’intérieur d’une cellule, des milliers de processus chimiques synchronisés les uns avec les autres se déroulent simultanément.
Dans les molécules de l’ADN des cellules vivantes, on trouve la densité d’information la plus élevée que l’on connaisse. Combien de livres de poche pourrait-on caser dans une tête d’épingle avec cette technique de sauvegarde? 15 mille milliards d’exemplaires. Placés l’un sur l’autre, ils formeraient une pile de livres de 200 millions de kilomètres de hauteur, ce qui correspond à 500 fois la distance de la Terre à la Lune (384 000 km).
Dans notre univers se trouvent environ 1025 étoiles (25 zéros après le 1). Une vie humaine ne suffirait pas pour les compter. Si on utilisait, pour ce calcul, un ordinateur capable d’effectuer dix milliards d’opérations par seconde, il lui faudrait pas moins de 30 millions d’années.
En considérant seulement ces quelques exemples, tout homme réfléchissant un tant soit peu se posera la question de l’origine de tous ces systèmes fabuleux. L’évolution, bien qu’acceptée par de nombreux contemporains, n’est pas une réponse valable, parce qu’elle attribue tout, sans exception, à la matière – l’information immense contenue dans les cellules, de même que l’âme et la conscience. Les lois naturelles de l’information affirment pourtant que celle-ci est quelque chose d’immatériel, qu’elle nécessite donc une source intelligente, c’est-à-dire un auteur doté d’une volonté. L’intelligence et la sagesse qui s’expriment dans les œuvres de la création sont tout simplement bouleversantes. La conclusion qui s’impose au vu des œuvres de cette création est l’existence d’un Auteur-Créateur.
En sciences naturelles, seule la réalité qui nous entoure dans l’espace et dans le temps peut être explorée au moyen des différentes méthodes d’investigation dont nous disposons. Mais celles-ci ne peuvent analyser que le «comment» des choses créées, pas le «pourquoi». La réponse à cette dernière question dépasse tout effort de l’imagination humaine et ne peut être donnée que par l’auteur lui-même. Mais où ce Créateur s’est-Il révélé? Est-ce dans la Bible, dans le Coran ou dans un autre livre de l’histoire du monde? Les religions du monde ne peuvent pas toutes être vraies: elles donnent toutes des réponses trop diverses et contradictoires. Ou bien elles sont toutes fausses, ou bien une seule d’entre elles est vraie. Les prophéties accomplies sont un critère important pour en contrôler la véracité. Il est prouvé que la Bible est le seul livre dans lequel 3 268 prophéties énoncées à l’avance se sont effectivement réalisées. Aucun autre livre du monde ne possède ce critère de qualité. La Bible est incomparable avec tout ce qui a jamais été écrit, elle est au-dessus de tout. Et dès le premier verset, la Bible répond à la question concernant le Créateur: «Au commencement Dieu créa.» Cela correspond bien à la nécessité d’une source intelligente.
Dieu était là avant tout. Avant qu’il y ait l’espace, le temps et la matière, Il agissait. La première phrase de la Bible, prise isolément, pourrait suggérer que Dieu le Père ait été le seul Créateur. Mais un détail décisif, indiquant qu’Il n’était pas le seul à agir, ressort dès le début du récit de la création: «Faisons l’homme» (Genèse 1,26). Le Saint-Esprit y participe; son activité est indiquée dans le deuxième verset du récit: «Et l’Esprit de Dieu planait au-dessus des eaux.» La Bible ne donne pas toutes les explications à la fois; elle nous informe souvent pas à pas. La question de savoir «qui est le Créateur» est développée plus en détail dans le Nouveau Testament. C’est ainsi que, selon 1 Corinthiens 8,6, Jésus-Christ participe aussi à l’œuvre de la création. «Il n’y a qu’un seul Dieu, le Père, de qui viennent toutes choses, et pour qui nous sommes, et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui sont toutes choses, et par qui nous sommes.»
Le mot hébreux «Elohim» de Genèse 1,1 est un pluriel qui désigne le Dieu Créateur. Nous pouvons facilement imaginer l’acte de la création, sous forme imagée, grâce à un exemple de la vie quotidienne: nous partons en voiture voir des amis. Au moment de repartir, je dis, en tant que père de famille: «Nous allons rentrer à la maison.» Même si je parle au pluriel, il est évident qu’une seule personne sera au volant pour conduire la voiture. Le reste de la famille est également du voyage, mais seul le chauffeur actionne le volant, l’accélérateur et le frein.
Cette image imparfaite aide à comprendre Celui qui, selon la Bible, a réalisé l’œuvre de la création. Dieu a fait le monde par Jésus-Christ. C’est ce qui est clairement formulé dans Hébreux 1,2. Le début de l’Évangile de Jean précise aussi que tout ce qui existe a son origine en Jésus: «Tout a été fait par elle (= la Parole = Jésus) et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle» (Jean 1,3).
Lisons encore quelques versets sur l’activité créatrice de Jésus dans Colossiens 1,16-17: «Car en Lui (= en Jésus-Christ) tout a été créé dans les cieux et sur la terre, ce qui est visible et ce qui est invisible, trônes, souverainetés, principautés, pouvoirs. Tout a été créé par Lui et pour Lui. Il est avant toutes choses et tout subsiste en Lui.» Dans le monde matériel visible, il n’y a rien qui n’ait été créé par Jésus: l’immense cosmos avec ses millions de galaxies, les cellules dont le fonctionnement est réglé jusque dans les moindres détails ou la structure des atomes en font tout autant partie. Jésus est non seulement l’auteur de l’ensemble du micro-cosmos et du macro–cosmos, mais Il a aussi la suprématie sur tout.
Et qui plus est, tout ce qui est encore invisible à nos yeux a aussi été fait par Jésus. Il a peuplé le ciel d’innombrables êtres que la Bible appelle des anges. Tout comme ce qui fait partie de la création est varié, mais ordonné, il en est de même pour le monde invisible, comme le montrent les expressions: trônes, souverainetés, principautés et pouvoirs.
Jésus est non seulement le Créateur du monde, mais aussi Celui qui maintient toutes choses. Tout est en vie grâce à Lui. Le monde n’a pas été livré à lui-même après sa création; c’est Jésus qui le soutient par sa parole puissante et le maintient en vie. Nous n’avons pas besoin d’avoir peur d’une catastrophe cosmique, que ce soit une collision d’étoiles, le réchauffement ou le refroidissement du Soleil. Jésus conservera le monde jusqu’à son retour.
L’homme n’est pas le produit d’une loterie, comme le pensait le lauréat du Prix Nobel Jacques Monod; nous avons été créés avec un but et une destinée bien arrêtés: pour Jésus! Sans Lui, notre vie n’a pas de sens.
Dans le livre des Proverbes 8,22-24, il est dit: «L’Eternel me possédait au commencement de son activité, avant ses œuvres les plus anciennes. J’ai été établie depuis l’éternité, dès le commencement, avant l’origine de la terre …» Dans ce chapitre de la Bible, c’est la sagesse qui parle, mais Christ n’est-Il pas la sagesse personnifiée? Le verset 30 ajoute: «J’étais à l’œuvre auprès de Lui…» L’expression peut aussi être rendue par «son ouvrier», ce qui indique une activité de Jésus au cours de la mise en place de la création. Le verset 26 du Psaume 102 est cité dans le Nouveau Testament, dans Hébreux 1,10, et y est appliqué à Jésus: «C’est toi, Seigneur, qui au commencement as fondé la terre; le ciel est ton ouvrage.»
Si nous nous demandons comment la création a été réalisée, c’est encore la Bible qui nous révèle les méthodes du Créateur:
Tous ces facteurs entrèrent en jeu durant les six premiers jours de la création. Ils ne sont pas soumis aux lois de la nature et ne sont saisissables que par la foi. Les lois actuelles de la nature coordonnent le fonctionnement de notre monde, mais elles ne sont pas la cause de la création; elles en sont seulement le résultat.
Il est le fondement sur lequel nous pouvons bâtir notre vie. Une certaine banque a pour publicité des pierres sur lesquelles «on peut construire». Nous affirmons au sujet de Christ: «Vous pouvez bâtir sur Lui.» Toutes choses sont fondées en Lui: la création, la foi, le salut, la paix, l’espérance, le chemin du ciel, le but de la vie.
Christ est le Rocher inébranlable (1 Corinthiens 10,4) sur lequel tout système de l’imagination humaine se brise. Quand Dieu dit: «Je détruirai la sagesse des sages» (1 Corinthiens 1,19), Il le fait sur le Rocher appelé Jésus. Là se fracassent toutes les idéologies, l’athéisme et les systèmes évolutionnistes. Leurs adeptes devront un jour plier les genoux devant ce Seigneur (Philippiens 2,10) qu’ils rejettent avec véhémence comme Planificateur, Dessinateur, Créateur et Sauveur.
Non seulement elle transmet une conception fausse du monde, mais encore elle nous ôte tout espoir, tel que l’écrivain allemand Jean Paul (1763-1825) le décrivait de manière si pertinente dans son roman «Siebenkäs»: «Il n’y a pas de Dieu … Le néant figé et muet! La nécessité éternelle et froide! Le hasard fou … Que chacun est solitaire dans le grand sépulcre cadavérique de l’univers!»
La théorie de l’évolution prétend pouvoir expliquer le monde sans Créateur. En conséquence, elle entraîne les hommes vers l’athéisme, et cette attitude athée mène à l’enfer, selon les paroles de Jésus: «Celui qui ne croira pas sera condamné» (Marc 16,16). Certains essaient de faire de l’évolution la méthode de travail de Dieu. Mais si Dieu avait créé par l’évolution, alors
Ces déclarations prouvent que ce qu’on appelle l’ «évolution théiste» ébranle les fondements de la Bible et la rejette donc tout entière. C’est pourquoi nous réprouvons au plus haut point cette fausse idéologie.
Nous connaissons maintenant Jésus comme le Créateur de toutes choses. Il est Celui qui était de toute éternité, qui est le Souverain du royaume céleste. Toute autorité Lui a été donnée dans le ciel et sur la terre (Matthieu 28,18). Pouvons-nous concevoir cette pensée vertigineuse: l’homme sur la croix de Golgotha et le Créateur de ce monde sont une seule et même personne! Dans son amour incommensurable envers nous, Il s’est laissé crucifier sans opposer de défense, pour que les portes du ciel s’ouvrent pour nous. Celui qui rejette ce fait perd tout: «Comment pourrons-nous échapper à la punition si nous négligeons un tel salut?» (Hébreux 2,3). Celui qui l’accepte gagne tout: «Celui qui écoute ma parole et qui croit à Celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle … il est passé de la mort à la vie» (Jean 5,24). Demandez au Seigneur Jésus le pardon de tous vos péchés pour que vous puissiez échapper au jugement de Dieu, acceptez-Le comme votre Créateur et Sauveur personnel et venez marcher à sa suite.
Directeur et Professeur e.r.
Dr. Ing. Werner Gitt