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Prof. Dr. Werner Gitt

Et pourtant – Dieu existe!

Aus dem Inhalt: „Klar ist, dass niemand beweisen kann, dass es keinen Gott gibt, aber ist andererseits seine Existenz beweisbar? Wenn das Letztere möglich ist, dann sind die atheistischen Verbände einem Irrtum aufgesessen. Kann man darüber hin­aus zeigen, dass es den biblischen Gott gibt, dann gehen die Atheisten auf die Hölle zu, denn die Bibel sagt: „Deren Los ist die dunkelste Finsternis“ (Judas 13b).“

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Et pourtant – Dieu existe!

La plupart des gens évitent volontiers les sujets qui touchent à «Dieu». Mais ils n’y réussissent pas entièrement.

A Londres, des athées ont voulu faire de la publicité sur les bus à étage au sujet de la non-existence de Dieu. Ce fut un échec. La loi anglaise sur la publicité exige que le produit que l’on veut promouvoir soit attesté par des faits concrets. Or, aucun des initiateurs de l’action ne fut capable de prouver que Dieu n’existait pas. Pour s’en sortir, ils modifièrent le slogan en formulant que Dieu n’existait «vraisemblablement» pas. Mais, en conséquence, cette affirmation incluait en même temps une certaine probabilité de l’existence de Dieu, ce qui entraîna de nombreuses personnes à réfléchir sur la question.

En Allemagne, la campagne publicitaire des athées sur les bus publics ne fut pas autorisée du tout. Ils décidèrent alors d’organiser un bus publicitaire privé et de faire le tour de l’Allemagne. Le slogan allemand fut encore renforcé par rapport à l’anglais: «Dieu n’existe pas [avec une probabilité proche de la certitude].» On pourrait se demander d’ailleurs pourquoi les athées font campagne contre une chose qui, d’après eux, n’existe pas?

Il est clair que personne ne peut prouver l’inexistence de Dieu, mais, d’un autre côté, Son existence est-elle démontrable? Si c’est possible, les associations athées sont alors victimes d’erreur. Mais si, en plus, on peut prouver qu’il s’agit du Dieu de la Bible, les athées se dirigent tout droit vers l’enfer, car la Bible déclare à leur sujet: «Auxquels l’obscurité des ténèbres est réservée» (Jude 13 b). Il n’existe pas de plus grave perte.

Nous allons répondre à la question de l’existence de Dieu grâce à deux nouvelles preuves. L’expression de Romains 1, 21: «Puisque, ayant connu Dieu...» est une affirmation très forte qui indique que Dieu se manifeste aussi en dehors de la Bible et que Son existence peut être alors démontrée. Même si les preuves de l’existence de Dieu ne mènent pas automatiquement à la foi, elles ont quand même une fonction importante: elles réfutent les arguments de l’athéisme et sont appropriées à démonter certains obstacles à la foi ou à les écarter.

Des preuves de l’existence de Dieu ont déjà été formulées dans le passé, par Aristote, Anselme de Canterbury et Thomas d’Aquin, par exemple. Nous mentionnerons ici deux preuves de l’existence de Dieu qui ont été développées ces dernières années par l’auteur de ce traité, l’une provenant des lois naturelles de l’information, l’autre du domaine mathématique-prophétique.

La preuve de Dieu dans les lois naturelles de l’information

Deux lois naturelles de l’information sont d’une grande importance dans notre contexte: «Une grandeur matérielle ne peut pas produire une grandeur immatérielle» et «L’information est une grandeur immatérielle et ne peut donc provenir que d’un Auteur intelligent». Depuis la seconde moitié du siècle passé, nous savons que d’incroyables masses d’informations sont stockées dans les cellules de tous les êtres vivants. Les conclusions scientifiques en sont donc: «Ces informations impliquent également un Auteur intelligent.»

A l’opposé des preuves historiques de l’existence de Dieu, en grande partie de nature philosophique, nous avons ici, pour la première fois, une preuve de l’existence d’un émetteur intelligent, reposant sur des lois naturelles, et donc de l’existence d’un Dieu. Il est inutile de se réclamer de Kant, considéré depuis 200 ans comme le grand destructeur des preuves de Dieu, car, à cette époque, seule une petite fraction du savoir scientifique actuel était connue.

La preuve de Dieu dans le domaine mathématique-prophétique

La Bible comporte plus de 3000 affirmations prophétiques déjà accomplies. Citons ici, comme exemple facile à vérifier, le dispersement du peuple d’Israël annoncé par Dieu (Deutéronome 28, 64-65), puis son retour garanti dans le pays de la promess (Jérémie 16, 14-15), qui se réalisa effectivement au bout de presque 2000 ans, au moment de la fondation de l’Etat d’Israël en 1948. Aucun autre livre de l’histoire du monde ne présente un tel taux de qualité. Nous avons ainsi un critère extraordinaire à notre disposition pour pouvoir vérifier la vérité. Est-il possible que des hommes, ayant vécu répartis sur une période de 1500 ans, aient pu faire autant de prédictions aussi exactes? Se sont-elles réalisées par hasard ou ce phénomène n’est-il possible que parce que Dieu est l’Auteur de La Bible et qu’en raison de Son omniscience, Il a annoncé des prophéties dont l’accomplissement peut être vérifié au cours de l’histoire?

Pouvons-nous concevoir ce que la réalisation de ces prophéties signifie? Nous allons essayer de l’illustrer au moyen d’un modèle. Essayons d’imaginer une assez grande fourmilière dans laquelle, au milieu des fourmis noires, se trouve une seule fourmi rouge. Il est facile de comprendre que plus la fourmilière en question est grande, plus la probabilité est petite de prendre, par hasard, la fourmi rouge (par exemple, les yeux bandés). La question est la suivante:

Pour quelle quantité de fourmis la probabilité de prendre au hasard la fourmi rouge correspond-elle à celle de la réalisation fortuite de 3268 prophéties?

Commençons par une évaluation grossière. Une baignoire pleine de fourmis suffirait-elle? Ou si on remplaçait toute l’eau du Lac de Constance par des fourmis, ou même le volume du globe terrestre? Le calcul nous montre que cela ne suffit pas. Que peut-on concevoir encore? Nous faut-il peut-être imaginer notre univers gigantesque et inconcevablement grand rempli de fourmis, ou éventuellement même deux ou trois de ces univers; ou peut-être cent (102) ou mille (103)? Le calcul mathématique surpasse toute notre imagination en nous révélant la quantité réelle de tels univers: il en faudrait 10896. Que signifie ce nombre immense – un, suivi de 896 zéros – d’univers remplis de fourmis jusqu’au bord?

Que la probabilité que ces 3000 prophéties aient pu s’accomplir par hasard est pratiquement nulle. Les résultats de ces calculs mathématiques atteignent des dimensions si énormes et si hyper-astronomiques que notre esprit et nos facultés intellectuelles ne sont plus capables d’en estimer concrètement la réalité. Ce résultat étonnant peut donc se résumer comme suit:

La «preuve mathématique-prophétique de l’existence de Dieu» permet de démontrer l’existence d’un Dieu omniscient et tout-puissant, d’un Dieu identique à Celui de la Bible.

Il en résulte trois conséquences importantes:

La Bible provient de Dieu et elle est vraie

Pas un être humain n’est capable de formuler des prophéties qui s’accomplissent sans exception. Le véritable Auteur de la Bible est Dieu, omniscient et tout-puissant (2 Timothée 3,16). C’est pourquoi la Bible entière est vraie. Jésus exprime dans une prière à Son Père: «Ta Parole est la Vérité» (Jean 17, 17) et Paul déclare: «Je crois tout ce qui est écrit» (Actes 24,14). Il avait confiance en Dieu, même sans la «preuve mathématique-prophétique» de Son existence.

Il n’y a pas d’autre Dieu que Celui de la Bible

Pas une des preuves de l’existence de Dieu énoncées par le passé ne confirme l’existence d’un Dieu particulier. Elles sont toutes formulées de manière si générale que toutes les religions peuvent les utiliser à leurs fins. La «preuve mathématique-prophétique», par contre, renvoie clairement au Dieu de la Bible et à Son Fils Jésus-Christ. Une telle justification ne peut être fournie pour aucun autre dieu dans les autres religions. La Bible dit, à juste titre, que les hommes se sont inventé des dieux innombrables selon leurs religions: «Car quoiqu’il y ait ce qu’on appelle des dieux, soit dans le ciel, soit sur la terre, – et de fait il y a beaucoup de dieux et beaucoup de seigneurs, – néanmoins, pour nous, il n’y a qu’un seul Dieu, le Père, de qui viennent toutes choses, et pour qui nous sommes, et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui sont toutes choses et par qui nous sommes» (1 Corinthiens 8, 5-6). Dans le Psaume 96, 5, la Bible réprouve tous les dieux des religions humaines: «Car tous les dieux des peuples sont de faux dieux.»

Le culte d’idoles n’est pas une affaire neutre. Dans le récit de la tentation (Matthieu 4, 8-10), le diable exige que Jésus l’adore. Mais Il le renvoie en citant la Parole divine: «Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et à Lui seul, tu rendras culte» (Matthieu 4, 10). Selon les déclarations du Nouveau Testament, l’idolâtrie est le culte des mauvais esprits, des démons (1 Corinthiens 10, 20), ce qui, finalement, ne fait que rendre au diable l’adoration que Jésus lui avait refusée de manière si véhémente. L’idolâtrie est aussi un péché qui exclut du Royaume de Dieu (1 Corinthiens 6, 9 et suivants; Galates 5, 20-21; Apocalypse 21, 8; 22, 15).

L’Athéisme est réfuté

L’Athéisme peut donc être réfuté de deux manières – à l’aide des lois naturelles de l’information et par la «preuve mathématique-prophétique». La Bible donne son avis sur l’idéologie athée dans le Psaume 14, 1: «L’insensé dit en son cœur: Il n’y a point de Dieu!» Il est dit en outre: «L’impie ne prolongera pas ses jours» (Ecclésiaste 8, 13). Non seulement les athées courent à l’échec, mais ils se trouvent, en plus, sur un chemin qui mène à la condamnation éternelle: «Celui qui ne croira pas sera condamné» (Marc 16, 16).

Mais il existe un moyen de salut

Il n’est pas dans l’intention de cet écrit d’accuser qui que ce soit pour la vie qu’il a menée jusqu’ici – soit-il adultère ou fraudeur, adepte d’une religion quelconque ou missionnaire de l’athéisme. Nous souhaitons bien plus attirer l’attention du lecteur sur les chemins qui mènent à la perdition et l’inviter à réaliser qu’il est possible à tout pécheur de faire un retour sur soi.

Dans Jean 3, 17-18, se trouvent résumées les vastes conséquences que l’Évangile a pour nous. «Dieu, en effet, n’a pas envoyé Son Fils (Jésus) dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par Lui. Celui qui croit en Lui n’est pas jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.» Comme Dieu a mis dans notre cœur la pensée de l’éternité (Ecclésiaste 3, 11), nous ne pourrons jamais trouver de véritable satisfaction dans les choses de la vie terrestre. Nous sommes des créatures éternelles, notre existence n’aura jamais de fin.

 Au-delà de la muraille de la mort, il n’y a que deux lieux de séjour – le ciel et l’enfer. Le premier est indiciblement beau, le second est d’une atrocité inconcevable. Dieu désire nous avoir un jour auprès de Lui au ciel. Pour cela nous avons besoin du Seigneur Jésus. C’est Lui qui nous ouvre la porte du ciel en nous délivrant de notre culpabilité et en offrant à notre vie une nouvelle perspective.

Si vous avez le désir d’être sauvé et d’aller au ciel, vous devez vous détourner de votre ancien chemin où vous marchiez sans Jésus, et L’accepter dans votre vie. Il vous est possible d’effectuer ce changement de vie en l’exprimant dans une prière comme celle-ci:

«Seigneur Jésus, je connais Ton Nom. Mais j’ai vécu jusqu’à présent comme si Tu n’avais jamais existé. Maintenant, j’ai compris qui Tu es, c’est pourquoi je m’adresse à Toi pour la première fois dans cette prière. Je sais maintenant qu’il y a un ciel et un enfer. Sauve-moi, je Te prie, de l’enfer où je mériterais d’aller à cause de ma culpabilité et surtout de mon incrédulité. Je souhaite être un jour au ciel avec Toi, pour l’éternité. Je suis parfaitement conscient de ne pas pouvoir y aller par mes propres mérites, mais seulement pas la foi en Toi. C’est parce que Tu m’aimes que Tu es mort pour moi sur la croix, que Tu as pris sur Toi mes fautes et as payé pour moi. Je T’en remercie. Tu vois toutes mes fautes, celles aussi que j’ai commises depuis mon enfance. Tu connais tous les péchés de ma vie – ceux dont je me souviens, mais aussi ceux que j’ai oubliés depuis longtemps. Tu sais tout de moi, Tu me connais parfaitement. Tu es au courant de tous mes états d’âme, que ce soit la joie ou la tristesse, le bien-être ou le découragement. Je suis devant Toi comme un livre ouvert. Tel que je suis et tel que j’ai vécu jusqu’à présent, je ne peux pas continuer d’exister devant Toi, le Dieu Vivant. C’est pourquoi je Te prie de me pardonner mes fautes. Je me repens de mes péchés devant Toi. Je Te prie de m’aider à abandonner tout ce qui ne Te plaît pas et de m’accorder de nouvelles habitudes qui soient sous Ta bénédiction. Ouvre-moi Ta Parole, la Bible. Aide-moi à comprendre ce que Tu veux m’enseigner et à trouver en elle de nouvelles forces et la joie de vivre. Dès maintenant, je veux que Tu sois mon Seigneur à qui j’appartiens et que je veux suivre. Donne-moi un cœur obéissant. Montre-moi, je Te prie, le chemin que je dois suivre.

Je Te remercie d’avoir exaucé ma prière. Je crois à la promesse qu’en me tournant vers Toi, je suis devenu un enfant de Dieu et que je serai éternellement au ciel auprès de Toi. Je me réjouis de T’avoir déjà maintenant à mes côtés dans toutes les situations de ma vie. Aide-moi, je Te prie, à trouver des personnes qui croient aussi en Toi, ainsi qu’une église fidèle où je puisse écouter régulièrement les enseignements de Ta Parole. Amen.

Directeur et Professeur e.r.
Dr.-Ing. Werner Gitt